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Reprendre sa confiance en soi,  c’est s’appartenir et être sa vraie nature

Perte de confiance en soi: comment la retrouver

Je réalise avec mon expérience personnelle, avec l’expérience de mes clients ou de mes proches que parfois, il importe de s’isoler pour prendre nos décisions et pour rétablir nos priorités malgré notre peur de la critique et du rejet.

 

La première image qui me vient est la nature sauvage.

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Les théologiens, les écrivains, les poètes et les musiciens ont toujours utilisé la nature sauvage comme une métaphore, pour représenter un environnement vaste et dangereux où nous sommes forcés de naviguer dans des expérience plus ou moins évidentes pour trouver refuge dans cette nature et cette beauté et pour y trouver des espaces de contemplation.

 

Ce que toutes les métaphores de nature sauvage ont en commun sont les notions de solitude, de vulnérabilité et de quête humaine, de sens ou physique.

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Plusieurs années durant, j’ai arpenté la vastitude des terrains alpin, de forêts ainsi que des terrains accidentés (La photo de cet article a été prise au sommet de Pigeon Spire dans le Parc national de Bugaboo au BC) … Que d’Enseignements de vie y ai je trouvé!

 

La nature sauvage reste mon Temple et elle me permet de connecter à cette même réalité en moi-même.

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S’appartenir à soi-même c’est être prêt à rester seul parfois ; c’est comme « une région sauvage » - un lieu de solitude et de recherche indompté et imprévisible.
 

C'est un endroit autant dangereux qu'il est à couper le souffle, un endroit à la fois recherché et craint.

 

La nature sauvage peut souvent se révéler « impie » parce que nous ne pouvons pas la contrôler, ni nous ne pouvons contrôler ce que les gens pensent de notre choix de s'y confronter ou non.

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Elle s'avère être le lieu d'appartenance de soi à Soi, et c'est le lieu le plus courageux et le plus sacré que vous pouvez contacter. Le courage particulier qu'il faut pour faire l'expérience de la complète appartenance à soi-même n’est pas seulement de braver cette nature indomptée, il s'agit de devenir la nature sauvage elle-même !

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Il s'agit de briser les murs, d'abandonner nos bunkers idéologiques et de vivre à partir de notre cœur sauvage plutôt que de nos blessures.

 

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Pour cela, nous avons à être intentionnellement avec des gens qui sont différents de nous. Nous avons à nous engager, nous joindre et nous asseoir à la table avec d'autres. Nous allons avoir à apprendre à écouter, avoir des conversations difficiles, à chercher de la joie, à partager la douleur et être plus curieux des autres que sur un mode défensif, tout en recherchant une connexion sincère.

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L'appartenance véritable n'est pas passive. Cela ne vient pas avec le fait joindre un groupe. C'est une pratique qui nous oblige à être vulnérables, à se sentir mal à l'aise et à apprendre à être présent avec les gens sans sacrifier qui nous sommes.

 

Nous voulons tous une vraie appartenance, mais il faut un courage extraordinaire pour embrasser les moments plus difficiles.

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On ne peut pas s'attendre à prendre un chemin bien balisé à travers ces lieux vierges. Alors que je pourrais partager les connaissances que j'ai apprises de mes expériences, il importe que tous trouvent son chemin dans l’expérience de la nature sauvage.

 

Et si vous êtes comme moi, vous n'aimerez pas une partie du terrain.

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Vous ne voulez pas vous promenez pas dans la nature sauvage (environnement hypercritique) sans préparation.

 

Pour vous engager sur ce sentier de la nature sauvage et devenir vous-même cette nature sauvage, il est essentiel d’apprendre à se faire confiance et à faire confiance aux autres.

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Si vous sentez que vous êtes prêts, on peut se réserver un moment ensemble.

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